Cabinet de Psychologie & Neuropsychologie

Consultation individuelle
Thérapie cognitive & comportementale

Définition

Une thérapie comportementale et cognitive (TCC) est une thérapie brève, validée scientifiquement qui porte sur les interactions entre pensées, émotions et comportements.

Ces thérapies se concentrent sur les problèmes actuels de la personne, tout en prenant en compte leurs causes historiques. Elles aident à progressivement dépasser les symptômes invalidants et visent à renforcer les comportements adaptés.

Une TCC s’appuie sur différentes techniques qui aident la personne à identifier les mécanismes à l’origine de ses difficultés, à expérimenter de nouveaux comportements et à sortir ainsi progressivement de cercles vicieux qui perpétuent et aggravent la souffrance psychique.

Les exercices : des techniques fondamentales en TCC

Spécifiques pour chaque trouble, ils sont structurés et évalués cliniquement :

  • Les exercices comportementaux visent un apprentissage de nouveaux comportements  tels que l’affirmation de soi par exemple ;
  • Les exercices cognitifs ciblent les pensées inadaptées et irréalistes en apprenant à les modifier, à construire et à stabiliser de nouvelles façons de penser plus adaptées ;
  • Les exercices émotionnels développent l’acceptation et la conscience des différentes émotions pour apprendre à mieux les réguler ;
  • Les exercices corporels permettent d’apprendre à se détendre physiquement et psychologiquement.

 

De fait, les exercices sont comme des boutures de mieux-être : la psychothérapie est efficace si elle est arrosée et bien entretenue !

Les résultats et les progrès issus de la pratique de ces exercices réalisés pendant et entre les séances sont évalués afin de décider de la poursuite ou de la fin de la TCC.

Ce n’est pas en regardant la lumière qu’on devient lumineux, mais en plongeant dans son obscurité. Mais ce travail est souvent désagréable, donc impopulaire.
C. G. JUNG

Thérapie Assistée par l'Animal

Accompagnement psychologique

La relation à l’animal permet à l’homme de travailler sur sa gestion émotionnelle, afin de prévenir la souffrance psychique. Dans cette perspective, l’objectif étant un mieux-être basé, notamment, sur la valorisation & l’affirmation de soi.

Stimulation des capacités cognitives

La médiation par l’animal est largement utilisée lorsqu’il s’agit de maintenir les facultés cognitives – c’est-à-dire les hautes fonctions intellectuelles de l’individu – voir de freiner le déclin de ces dites fonctions, telles que la mémoire à court & long terme, la sphère langagière,…

Encouragement des relations & des habiletés sociales

La zoothérapie est également préconisé lors d’interventions dont le travail est de renforcer les liens interindividuels : développer un relationnel parent/enfant, favoriser l’intergénérationnel entre grands-parents et petits-enfants, apaiser les relations dans une fratrie, sont tout autant d’exemples d’objectifs.

Provocation de la sensorialité

La thérapie assistée par l’animal axée sur la sensorialité trouve son intérêt dans l‘éveil & le renforcement des sens, tout en favorisant le contrôle de soi & l’apaisement global de l’individu.

Etre capable de s'occuper d'un être vivant, c'est apprendre, savoir s'occuper de soi-même et d'autrui. C'est être attentif à la vie : l'animal, être vivant et sensible, ne peut qu'humaniser l'humain.
N. MENIGON

Neuropsychologie

Réalisation de bilans

Le bilan psychométrique permet aux adultes, adolescents & enfants de pouvoir mieux se situer à un instant « t » sur le plan intellectuel. Le bilan est également envisageable lorsque l’individu souhaite en savoir davantage sur ses potentialités et ses fragilités sur le plan cognitif, dans l’optique de connaître son Quotient Intellectuel.

Le bilan neuropsychologique propose de faire une « photographie » du fonctionnement cognitif global. Au-delà du diagnostic et des résultats chiffrés, le bilan proposé se donne surtout pour objectifs de clarifier une situation donnée et d’apporter des éléments de réponses au regard de certaines interrogations (difficultés scolaires, problématique attentionnelle, haut potentiel intellectuel, suites d’un accident de la vie avec séquelles neurologiques,…). 

Dans un monde médical où le triomphe de l’imagerie fait présager la mort de la clinique, la neuropsychologie reste attachée en priorité à la relation humaine.
J. CAMBIER

Rappel sur les différents psy

Celleux qui ont une formation reconnue par l’État :

Un.e psychologue est titulaire du titre de Psychologue (Bac+5) et bénéficie d’une formation complète sur la santé
mentale. lel respecte le code de déontologie. Son titre est protégé depuis 1985.

Un.e psychiatre est inscrit.e à l’Ordre des médecins et poursuit une démarche médicale du traitement des maladies mentales. Pour cela iel peut pratiquer la psychothérapie et prescrire des médicaments.

Un.e psychothérapeute est un.e psychologue ou un.e psychiatre formé.e en psychopathologie clinique par une institution agrée par l’État. Leur formation s’axe sur la psychothérapie dont il existe différentes pratiques.
Son titre est reconnu depuis 2010.

 

Celleux qui n’ont pas de formation reconnue par l’État :

Le/La psychanalyste a été formé.e dans une école de psychanalyse et a également fait un long travail personnel pour comprendre son propre fonctionnement (une psychanalyse). lel fonde sa pratique à partir d’un modèle psychanalytique qui porte sur l’étude des processus psychiques inconscients. Ce titre n’est pas protégé par la loi.

Le/La psycho-praticien.ne (ou psycho-autre chose) assure une pratique libre. Sa formation n’est pas contrôlée.
Ce titre n’est pas protégé par la loi.